S’ennuyer de ses vrais parents

#jeudiconfession #tbt (because it still is a thing):

Ça va faire 19 ans  le 19 avril que mon grand-père paternel est décédé. Une source d’amour inconditionnelle et familiale, qui a été une de mes forces et un rare pilier malgré la fondation de marde au départ dans ma vie.

I still miss him a lot.

Malgré son alcoolisme, qui devait cacher tant de douleurs, tant physique que mental (un alcoolisme que je peux salement comprendre aussi, ayant ce pattern dans les moments troubles et difficiles de ma vie).
Malgré ses secrets emportés à tout jamais dans sa tombe.

Lui et ma grand-mère Rouleau ont été, avec ma grand-mère maternelle, mes parents. Dans le vrai sens du terme, là: des êtres présents pour moi, qui m’ont toujours fait sentir importante, vivante, aimée, valorisée, comprise. Ils m’ont éduqué (du mieux qu’ils le pouvaient, quand ils m’avaient chez eux); ils m’ont habillés et nourris quand mes propres parents ne le faisaient pas; ils m’ont encouragés dans mes passions et mes études durant mes jeunes années.  Ils ont été d’une importance capitale pour moi durant mon enfance traumatique, et je n’ai jamais eu la chance de les remercier, vu qu’ils sont décédés trop tôt pour que je réalise toute l’ampleur de leur dévouement pour moi. J’aurais tant aimé qu’ils puissent voir leur arrière-petite-fille awesome, Nano (oui, je l’appelle encore comme ça sur les Internets ;P ).

Bref, je m’ennuie de deux êtres chers dont je sais qu’ils seraient fiers de moi, de mon parcours, de ma résilience et de mon bottage-de-fesses-des-gens-caves. La douleur a beau s’atténuée avec le temps, reste que la mort des êtres chers fait toujours chier, calisse!!!

Random thoughts on parenthood and shit

More random thoughts on parenthood, noted from the last years:

No, it’s not because I have a kid that I do love ALL kids. I actually still don’t like kids, and I love only a few. But it does not stop me from feeling sympathy with all the other parents dealing with the shit their(s) kid(s) made them live through.

And yes, I DO love my daughter. You do not have any idea how far I can go to protect that kid, cherish, educate and love her. Do not even dare challenge this.

The next one who dare judge me on my choice NOT to have a second child will be slapped. Or rudely insulted in front of EVERYBODY. My body, my choice. Also, I had the operation, my fallopian tubes are ligated. So…I’m buying a damn lottery ticket if I ever become pregnant again. A SHITLOAD of lottery tickets. And YYYESSS, sex with no stress of being pregnant!!! How dare I think of fun and kinky sex, and not reproducing and being a fucking mother of 8?

Yes, I’m a mother. And I think of Sex. All. The. Fucking. TIME!!

No, I won’t be there to ALL activities my daughter will do. No, I won’t push her to do 4 after-school activities and sports. She’ll decide whatever the fuck she wants and likes. I will probably just pay and go to her finals and shows. But I won’t be supervising her every moves and actions, I won’t get up at 4am for her hockey practice. I’m there to help her discover more about herself, her tastes, her interests, again to educate her in Life. Not to be her slave.

 

Not because I have a kid that I want MORE kids. Nope. I am very happy with my decision to only have one kid, and seriously don’t want to pass through all the post-partum depression and stress, the social pressure to be a supermom, and the judgement from the entourage for every fucking decision I take. I’m an adult: let me decide ALONE, for fuck sake!

A year of the same Disney song will make you go crazy (aka the damn Frozen song)

Fuck you 2016…

Just have no force to write my 2016 down…

Crappy year, doubled up with a diagnosed severe depression (that is slooowwwllyyyyy receding); combined with a separation that was “the straw that broke the camel”…it was too much. Too many “bottled up” emotions, and lots of accumulated events in the past years made it too much for me to handle.

I cracked. I broke up last spring.

Slowly, but surely, I rebuilt myself with some really trusted close friends and my medical team. Patience, introspection, confronting my fears and patterns accumulated through the years: those were the actions that defined my last summer and fall. To survive, and then start living a little again, I had to do a HUUUGGEEEEE clean-up in my head and my life. Which I started, and am still doing. HUGE, I tell you! People just have no idea how huge…

So, I can say that for the last month, it’s been…better. Oh, not “super-happy-dancing-on-rainbow-and-unicorns” better, but…you get the gist of it. I know I will get better with time, healing, and getting rid of fucking “assholy” people that were poisoning my life for too long. Also, managed to clear up some “life objectives”, and confirmed some life choices I already made in the past (but didn’t totally/publicly assumed, in a way of speaking), and I can now say this: my 2017 will start on a tiny-itsy-bitsy more optimistic way than last year. I should be OK, I am well surrounded, and I now know where I am going.

Bring it on, 2017. I have my fighting gloves on, ready to knock you out 😉

2

La Debbie du passé….

(Lire ceci avant: http://www.mauvaiseherbe.ca/2016/10/23/inventaire/ – mon texte a été écrit suite à cette lecture touchante et marquante)

Je vais vous conter un #inventaire un peu différent des autres femmes, aujourd’hui…

Je vais vous conter comment, avec les mauvaises expériences de type attouchements, harcèlements, et aggression dans ma vie, j’en suis venue à me construire une identité publique qui a acquis une certaine…réputation de violence, et d’aggressivité envers les gens à travers le temps.

Je vais vous conter pourquoi la majorité d’entre vous m’avez connu aggressive, toujours prête à donner des coups quand ça faisait pas mon affaire, toujours prête à lâcher quelques sacres bien sentis quand j’entendais des absurdités, toujours prête à devoir arracher des couilles et les faire bouffer aux ‘cromagnons’ qui oseraient me provoquer ainsi. Toujours prête à donner une baffe. Parfois en prévention, juste “pour le fun”.

Je vais juste vous conter la femme que j’ai faillit devenir, celle que j’ai faillit tuer en-dedans de moi – mon vraie moi, quoi! – en bonne partie à cause de cette #cultureduviol. Cette femme qui s’est tranquillement éteinte dans les dernières années, pour laisser tranquillement la place à cet être humain un peu plus empathique, un peu plus forte et plus expressive, capable d’exprimer haut et fort quand je n’adhére pas à de quoi d’incongru, de complètement “fucked up”.

M’en vais vous conter qui a été Debbie.

—–

6 ans. Ce dont je me souviens: un oncle me gardait pendant que ma mère travaillait de soir. Moi qui regardait la télévision, Passe-Partout jouait d’ailleurs. Cet oncle qui est sorti nu de sa douche, et qui me demande si j’ai envie de jouer à un jeu.

J’ai 6 ans, une jeune enfant qui n’avait pas grand monde avec qui jouer. C’est CLAIR que j’ai dit “oui”. Un jeu, man! Voir qu’un enfant dit non à jouer!

Le jeu en était un de ‘devines quel partie de l’anatomie humaine que c’est en l’embrassant”. J’ai encore une face de dégoût en repensant à ça. Dégoût de cet être humain abject qui a pensé que ce serait ben le fun de s’amuser avec sa nièce comme ça.

Je skippe les détails. Mais je n’ai jamais pensé que c’était de ma faute. Par contre, je me suis tue: ce n’est pas avant mes 10 ans que j’ai réussit à le dire à ma mère et ma grand-mère. Événement qui avait été mis dans le fond de mes souvenirs, semi-oublié…mais qui est ressorti suite à un ‘trigger’ important cet été-là: j’avais un homme qui avait juste fait la gaffe de me toucher, de m’approcher. Rien de méchant, rien de sexuel: ce monsieur avait juste tenter de me faire un calin!

Cet homme, qui est devenue mon grand-père adoptif, a su illico qu’il y avait de quoi: aucun homme ne pouvait m’approcher, je n’en respectais pas un, déjà, du haut de mes 10 années de vie.

Ça promettait pour mon adolescence.

Level up de la Debbie violente: +1

—–

11 ans. Une soirée chez un ami. Il s’est mis à me coller. Avoir des mains baladeuses.

Moi, influencée par la gang, par mes amies autour qui n’arretaient pas de me parler de “chums”, d’être avec un garçon (oui, déjà à cet âge, criss que je me tenais avec des gens précoce). Moi qui ne voulait pas se faire toucher…mais qui s’est laissée faire.

Parce que. Parce que pour la première fois, un garçon de la cour d’école, un ami, me “voulait” comme ça. Parce que je me faisais dire que “c’est normal”, c’est un passage obligé vers l’amour et la vie adulte.

Je l’ai laissé me tripoter, se frotter contre moi, sentir son érection, me laisser des marques dans le cou, couchée sur le sofa, sous son corps qui ondulait…pendant que moi, j’en retirais aucun fun, et je regardais la fucking télé au loin.

J’ai apprit, ce jour-là, que criss que je voulais rien savoir des relations “amoureuses” et sexuelles. Fallait que j,éloigne de moi toute personne qui voudrait s’approcher, coûte que coûte.

Level up de la Debbie froide: +1

—–

Ayant été victime de bullying intense entre mes 10 et 15 ans à l’école, j’en ai retiré des souvenirs calissement amers de ces années-là. Beaucoup d’insultes, d’attaques verbales et physiques contre ma personne. Des attaques sur comment personne ne voudrait de moi “comme ça”, sauf pour être un vulgaire trou, un jouet jetable dont personne ne voudrait fièrement dire qu’ils m’avaient touché “comme ça”.

Ça laisse des marques sur un enfant, ce genre de remarque.

Level up de la Debbie qui se ferme la gueule: +1

—–

15 ans, tannée d’être une victime d’intimidation qui devenait de plus en plus intense, j’ai changé d’école.

Première journée à cette nouvelle école, je prend une attitude très aggressive, très froide. Je sors ma face publique à ce moment-là: cette Debbie violente que beaucoup ont apprit à connaitre dans ces années-là.

Une fille qui a essayé de m’intimider, car elle m’a reconnue de l’autre école: je l’ai menacée, poussée dans une case, et fut d’une violence verbale inouïe envers elle. Lui soutirant la promesse de se fermer la gueule me concernant. D’oublier qu’elle m’avait vue à cet école, sous peine de…

J’ai clairement eu la paix ensuite.

Level up de la Debbie violente: +5

—–

Le nombre de fois que j’ai des amis, une fois à l’âge adulte, qui n’ont pas accepté mes refus polis à “plus”: du franchage, du tripotage, du sexe, une relation… J’ai quelques amis que j’ai apprit à flusher de ma vie en leur promettant de leur arracher la tête s’ils osaient salir mon nom parce que j’avais osé dire “non” à leurs avances.

Level up de la Debbie violente: +10
Level up de la Debbie froide: +5

—–

Le nombre de fois que ça ne me tentait juste pas d’avoir des relations. Mais que j’ai dit oui, que je me suis laissée faire…

Level up de la Debbie dépressive: YOU DON’T WANT TO KNOW

—–

Et j’en passe.

Les ‘compliments’ d’étrangers sur la rue, dans les cafés, sur les médias sociaux, sans que je leur ai parler.

Les étrangers qui pensaient me complimenter en me demandant d’être leur amante (un dans un centre d’achat où je travaillais, et un autre comme ça, à l’arrêt d’autobus. Criss, les boys, travaillez vos osti de tactiques de cruise!!!)

Le dude dans le métro qui avait sorti son pénis de son short, assis devant moi, et qui se touchait…alors qu’on était seuls dans le wagon, et que j’avais ma face dans un livre (je n’ai d’ailleurs jamais fini ce livre, osti!)

Les fucking dick pics envoyés online, sans même une salutation.

J’en passe tellement, des petites expériences vécues dans ma vie. Mon cerveau a décidé, il y a longtemps, que catégoriser tous ces monsieurs-là comme des osti de débiles à leur défoncer la face si je les rencontrais sur la rue (non, je ne l’ai jamais fait, d’ailleurs: il y a aucun de ces cons qui mèritent que je fasse de la prison pour LEURS mauvais comportements)

—–

Plus les années passaient, plus je sentais monter la violence en moi. Ça en était devenue ma première réponse quand les gens normaux m’abordaient. Réflexe premier: leur répondre bête, et avec un sale regard meurtrier du type “Disparait de ma face”. N’importe qui qui m’a connu au cégep SAIT de quoi je parle: cette Debbie leur faisait PEUR.

Level up de la Debbie violente: +100
Level up de la réputation de la Debbie violente: +10

—–

Bien qu’avec le temps, je me suis rendue compte de mes comportements, de mes réflexes comportementales, et que plusieurs de ces personnes (devenus de chers amis!) ont osé passer par-dessus ma carapace et me pointer ces comportements malsains, j’ai apprit tranquillement à changer. Plusieurs de ces Macaques qui me connaissent depuis longtemps me disent tous comment j’ai changé, comment j’ai prit en maturité et arrêter d’être une femme violente avec les autres.

La naissance de ma fille aura été le point tournant qui m’aura pousser à me changer, à me regarder dans le miroir et chercher à savoir qui était cette femme que je n’aimais pas….

Level up de la Debbie d’aujourd’hui: +5

—–

Reste qu’on vit toujours dans une société qui a apprit à taire cette culture du viol. On a apprit à taire ces dégueulasseries, à ne rien dire, de peur de choquer quelqu’un et briser la vie des aggresseurs.Fallait pas en parler.

La Debbie d’aujourd’hui voit les mêmes affaires que durant son enfance et son adolescence se passer. Les mêmes comportements chez plusieurs hommes (et femmes aussi, ne s’en cachons pas). La Debbie d’aujourd’hui sent la Debbie du passé, la Debbie violente et aggressive, qui veut sortir de sa cage et casser des gueules. Parce que c’est ridiicule. Parce que c’est aberrant qu’en 2016, qu’on doive encore subir les actes de ces aggresseurs en se fermant la gueule.

La Debbie d’aujourd’hui a mûrie; elle canalise l’énergie et la rage de la Debbie du passé pour verbaliser sa colère. Mais non…cette Debbie-là ne se fermera pas la gueule.

La Debbie du futur s’inquiète. Pour sa fille, pour les filles de ses proches: dans quelle société les élève-t-on? Dans quelle type de société vont-elles grandir? Quelles comportements malsains développeront-elles pour se protéger de ces harceleurs, ces aggresseurs qui vont refuser leur “non”?

Level up de la Debbie introspective et mature et qui veut changer les choses sans virer à la violence: +100

—–

Encore pleins de réflexions, encore pleins d’introspection, mais c’était le début de mes pensées sur ce sujet dont je me suis dite qu’il serait intéressant de partager online. Ceux qui me connaissent depuis longtemps ont vu mon évolution; ceux qui ont passé par-dessus mon image publique aussi. Mais pour plusieurs, ce sera intéresant de comprendre l’histoire derrière mes comportements aggressifs, cette Debbie à la réputation violente et aggressive.

In 2014, I learned…

In 2014, I learned a lot of things about myself and others.

—–

I learned that I was at an all-time low in my mental health, and almost no one noticed (except two of my close friends). I also learned that I had such a good “poker face” that nobody suspected my degrading state of mind, my moody attitude, my intense drive to get as drunk as possible pretty much anytime I could earlier this year, and my secret desire to dump everything and just run away. Yeah, I kept a lot bottled up inside, and I just…exploded this fall: I was in an apathetic state; I was going nowhere with my current life choices; and I was slowly forgetting about me in all this ‘parenthood’ adventure. I just needed a break, needed time to think about what I really wanted in life, and just go for it.

Which I did: getting back into the GeekfestMTL (in a new position that shouldn’t take as much time as my previous position in the first two editions); started drawing and photographing again; finally attacking that huge pile of books and magazines I kept pushing in the future; taking some “alone” vacations out of town; writing; meeting new people and making new friends; and started training and exercising again, gaining back a healthier body in return for the hard work.

For 2015, I’ll keep this creative and healthy path. It made me happy again by the end of 2014, and I think it will keep me happy for next year 😀

—–

I learned about the fragility of friendship. Oh, and that your “friends” can laugh about any of your choices, tastes and life decisions, but you can’t laugh about theirs.

One of those lessons in 2014 I learned the hard way.

But on the good side, it made me re-evaluate all the people in my network last year, and see who could really be called “friend” (and belong to my tribe). A couple of old friends were eliminated from my daily life and contact, and a surprising amount of acquaintances became really close in the last few months. I was also lucky to meet new ones, whom grew to be really close, and who gave me some nice advice to reflect on. I may have lost people I called “family” (and damn did it hurt!), but I gained remarkable people along the way. Damn lucky I am to have these new friends in my tribe, and to still have some awesome close friends that managed to help and motivate me. I am surrounded by awesome people!

And for 2015, I’ll start this amazing year with them, and we’ll have an awesome time! Because my tribe rocks!

3

All I need this winter is a nice cup of tea. And hugs. And talks.

I feel weird. I feel down. I feel empty. I feel bored. I feel hyper. I feel tired. I feel happy. I feel intense. I feel alone. I feel too surrounded. I feel bouncy. I feel cold. I feel energetic. I feel exhausted. I’m a bundle of weird emotions, all making me think these days.

I don’t know why, but I have a bit of the winter blues. Especially this year, I felt it hitting harder, or maybe I’m just seeing this now about myself? No clue, but still, trying to make myself smile at the tiny daily stuffs that happens in my life helps: my daughter laughing hard at a new thing; the husband just hanging around, playing with the kid or talking to me; the cats taking adorable poses so I just can’t say no to scratching their bellies; taking my first cup of coffee of the day as I look the sun rises up outside…Tiny stuffs that keep me smiling, at least that a good thing!

But I kept feeling…weird, in a indescribable way since my daughter was born almost three years ago. Or maybe a little bit before we even considered having a kid. I feel like I’m searching for myself, not sure what I’m actually doing is the right thing. The only thing that is quite right – and holding me together, I guess – is my own family, the one I create in the last few years. Our ‘trinity’, in a way: The Husband, Nano, and myself. THAT makes me all warm and cuddly inside.

I kinda feel like I would throw everything else as far away as possible from me. Start anew. But I’m also tired of this “new”, of always waiting up for ‘new events’, new ‘experiences’ to come up to me. I’m tired of waiting for something that I don’t know if it will finally satisfy me. I’m also tired of these ‘new year, new you’ things, always thinking “well, maybe it WILL be my year to shine and thrive”, always searching about me, who I am, what I want to do, what I want to leave as a ‘mark’ in the world…

I’m tired of keeping this all in my head, I guess. I feel like I’ve been ramblings nonsense in my head for decades. Stuffs I never said to anyone, stuffs I keep inside but maybe shouldn’t. I have a friend who told me he started seeing a psychologist in the last couple of months, and it seems to make him a little better. Maybe that would help me too. Unloads stuffs, seek advice from an unrelated person of my entourage.

Or maybe I just need tons of hugs. And a cup of tea around a nice table of friends, just talking away. For now, I consider it would make me quite happy and content.

S’ennuyer de ses copains + liens pour parents en manque d’inspiration

Me semble que je suis dûe pour revoir pleins de vieux copains dont ça fait longtemps que je n’ai pas vu.

En attendant, quelques liens que j’ai trouvé qui vont m’aider à passer l’été + rapidement avec Nano et El Mari. C’est valide pour mes amis parents, mais AUSSI pour mes amis qui garderont leur neveu/nièce/soeur/frère/enfant-d’un-ami/un kid et ne savent pas trop quoi faire avec ces mini-humains: