The need to be home again

The need to write has always been strong...

The need to communicate has always been there...

The need to share has always been in me...

But...

But. Censorship of our own words, especially now on the Internet, is very strong.

So many trolls. So many hate. So many people

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My second tattoo

Last February, I saw that tattoo design on the artist’s Facebook page, and after quickly conversing with her, I grab an appointment to get this inked a few days later.
As she was drawing this design into my skin, I slowly realized that this design, that I liked at first glance, suddenly came to take more signification in my mind.

The arrow pointing to the upper part of my body, to my head…

The green, my favorite color…
The compass rose, which represents my Pirate side of me…
The navigation star, there to guide me while I was lost in the sea of depression and utter nothingness for the last year…

My intuition was “spot on” when I selected this design!

Can you tell I love it?

I swear: I read Playboy for their articles!

Perusing through a pile of old Playboy a friend collects, he showed me this, knowing my sphere of interests in history. I always said it: I read Playboy for their articles!
#wow #latergram #playboy #politics #wwii #ww2 #nazi #albertspeer #fuckingintense #interview

Because nazism and fascism seem to be “back in fashion”

“His productivity reflected his sense of urgency: the book was conceived as a kind of message to the future. It is a law of history, he wrote, “that contemporaries are denied a recognition of the early beginnings of the great movements which determine their times.” For the benefit of subsequent generations, who would be tasked with rebuilding society from the ruins, he was determined to trace how the Nazis’ reign of terror had become possible, and how he and so many others had been blind to its beginnings.”

S’ennuyer de ses vrais parents

#jeudiconfession #tbt (because it still is a thing):

Ça va faire 19 ans  le 19 avril que mon grand-père paternel est décédé. Une source d’amour inconditionnelle et familiale, qui a été une de mes forces et un rare pilier malgré la fondation de marde au départ dans ma vie.

I still miss him a lot.

Malgré son alcoolisme, qui devait cacher tant de douleurs, tant physique que mental (un alcoolisme que je peux salement comprendre aussi, ayant ce pattern dans les moments troubles et difficiles de ma vie).
Malgré ses secrets emportés à tout jamais dans sa tombe.

Lui et ma grand-mère Rouleau ont été, avec ma grand-mère maternelle, mes parents. Dans le vrai sens du terme, là: des êtres présents pour moi, qui m’ont toujours fait sentir importante, vivante, aimée, valorisée, comprise. Ils m’ont éduqué (du mieux qu’ils le pouvaient, quand ils m’avaient chez eux); ils m’ont habillés et nourris quand mes propres parents ne le faisaient pas; ils m’ont encouragés dans mes passions et mes études durant mes jeunes années.  Ils ont été d’une importance capitale pour moi durant mon enfance traumatique, et je n’ai jamais eu la chance de les remercier, vu qu’ils sont décédés trop tôt pour que je réalise toute l’ampleur de leur dévouement pour moi. J’aurais tant aimé qu’ils puissent voir leur arrière-petite-fille awesome, Nano (oui, je l’appelle encore comme ça sur les Internets ;P ).

Bref, je m’ennuie de deux êtres chers dont je sais qu’ils seraient fiers de moi, de mon parcours, de ma résilience et de mon bottage-de-fesses-des-gens-caves. La douleur a beau s’atténuée avec le temps, reste que la mort des êtres chers fait toujours chier, calisse!!!

2017 vs 2007: Le Dilemme du Blogueur

Splittée…

Entre écrire et partager avec son monde online,
Ou tout garder pour soi, parce qu’au final…tout le monde s’en fout.

Entre parler et partager ce que qui turlupine l’âme, m’enjolive les émotions,
Ou tout garder pour soi, parce qu’au final…tout le monde s’en fout.

Entre montrer mes coups de coeur en photos, écrire mes coups de gueule,
Ou tout garder pour soi, parce qu’au final…tout le monde s’en fout.

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On ne se le cachera pas: partager sa vie online a énormément changé depuis 10 ans. Autant y’a des jours où l’envie de tout bloguer mes démange, autant y’a des jours où je me dis que “No one will read, parce que…”.

Parce que manque de feedback, et donc impression de parler dans le vide.

Parce que commentaires qui partent en dérape, et gestion de crises nécessaire pour ne pas salir son nom.

Parce que drama qui déborde dans la vie hors-ligne, et donc du coup cause beaucoup de maux de tête.

Parce que amplitude du désespoir ressenti à voir la fermeture d’esprit de certaines personnes qui gravitent dans notre entourage.

Parce que…

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Mais tellement envie d’écrire et tout partager. Surtout le pire. Surtout le laid.

Surtout le déprimant: celui qui donne envie de pleurer sa vie, de s’ouvrir les veines, mais qu’au fond, tu mets des points de suture pour passer au travers.

Car le partager, c’est montrer aux autres que…la Vie n’est pas qu’un spectacle en continue. Ce n’est pas que du glam, pailettes et caméras en direct sur le Web.

Écrire le beau aussi. Parce que c’est le fun, montrer les petites choses qui montre que c’est bien, rester en vie. Que la vie, ce n’est pas celle proposée par la Société, sa famille, la pression sociale, etc.

Bref, j’écris.
Même si des fois j’ai l’impression de hurler dans le silence.
Même si des fois, j’ai l’impression dans choquer quelques-uns.
Même si des fois, j’ai l’impression que la majorité me “unfollow” pour ne plus être confrontés dans leur vie blasée de confort immédiat.

Bref, j’écris pour montrer mon humanité et tenter de changer les choses, un post à la fois.